La nuit du Hack 2010 : on y était !

Récit immergé de la nuit de la Hack, qui, à l’heure de la publication de cet article, n’est pas encore finie.

On y est allé et on a croisé, comme prévu, de gros geeks crades aux cheveux longs. Ce qui est toujours très drôle, c’est que quand tu essayes de comprendre quelle est la marque de leurs PC, tu n’y arrives pas. Après tu regardes si par hasard ils ne seraient pas sur Internet ou en train d’écouter de la musique avec iTunes… et là, tu t’aperçois que non seulement tu ne sais pas trop ce qu’ils font, mais même, tu ne sais pas trop dans quelle langue ils bossent !

C’était sur la péniche Concorde Atlantique, en face du Musée d’Orsay et de l’Assemblée nationale, comme un pied de nez aux vieilleries du musée qui doivent s’effacer devant la modernité de leurs outils hi-tech dernier cri et aux lois qu’ils ignorent. Car ce soir, ce qu’on a vu n’était pas tout à fait autorisé…

Un type s’est pointé pour nous expliquer comment cracker la PlayStation 3. Un autre nous a montré comment crocheter un cadenas. Dans un coin, un type un peu louche qui travaillait il y a longtemps dans l’armée, mais qui depuis n’a pas de métier mais gagne quand même très bien ca vie (dixit) était en train de pirater le réseau radio de la police nationale. Un peu plus loin, on nous a expliqué comment hacker la livebox.

Evidemment, la moyenne d’âge des personnes sur places (presque tous des hommes) ne dépassait pas les 30 ans. Jamais vu autant de T-Shirts noirs dans une même soirée. Et les mecs buvaient leurs bières mangeant un sandwich jambon-fromage tout en se demandant quand est-ce qu’ils allaient pouvoir avoir le temps de se commander des pizzas.

Un must go une fois dans sa vie, même si tu n’y comprends rien !

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