Pendant un interview donné juste avant de rentrer dans l’arène du Super Bowl pour un giga-concert en direct devant 100 millions de téléspectateurs, Madonna a accepté de donner son avis, avec réticence d’ailleurs, sur Lady Gaga.
Lorsqu’on lui a demandé de réagir au fait qu’on parlait désormais d’elle comme de la « Lady Gaga des années 1980 » et non pas de Lady Gaga comme la « Madonna des années 2000 », Madonna a refusé de répondre.
Puis, quand la journaliste a insisté pour savoir ce que Madonna, l’auteure de « Like a Virgin » et hérault de la communauté gay, pensait de la relation très spéciale nouée entre Lady Gaga et les homos, cette dernière, franchement énervée a répondu : « Lady Gaga est une femme fragile. Elle n’est pas bâtie comme une cabine de chiottes en briques. Elle a l’air d’avoir eu des conflits dans son éducation et je vois très bien où elle pourrait avoir cette sorte de connexion, de relation symbiotique avec les homosexuels. »
Bref, si Lady Gaga plait aux gays, c’est parce qu’elle n’a pas bien vécu son adolescence et son éducation. Ce que vivent tous les gays ?
Toujours cette histoire d’égérie musicale gay : on nous a aussi déjà fait le coup avec Britney Spears ou Mylène Farmer…
Auteur ne s'accorde pas, même si c'est une auteur. "Plaît“ prend un accent circonflexe. Quant à "hérault", c'est la bonne orthographe certes, si l'on parle du département du sud de la france…