CGT : faux syndicat, vraie arme de déstabilisation de gauche

Faire de la politique politicienne plutôt que défendre les intérêts des travailleurs. Le drame du syndicalisme à la française en général et de la CGT en particulier se résume en cette phrase. Issus des mouvances anarcho-révolutionnaires et allergiques à la droite, les patrons des centrales syndicales prennent en otage les intérêts des corporations qu’ils sont censés défendre.

En prenant ouvertement partie pour François Hollande, et alors que tous les sondages démontrent que l’électorat syndiqué est beaucoup plus partagé qu’il ne l’était (avec notamment de gros scores pour Marine Le Pen), les pontes de la CGT ont montré leur vrai visage : celui d’une clique de gauchistes qui roule en sous-main pour le parti socialiste (puisque le PCF est mort).

Un syndicat qui choisit systématiquement le blocage et l’extrémisme pour ébranler le gouvernement alors que les intérêts de ses membres seraient bien souvent mieux servis par le dialogue et la négociation. Mais les avancées sociales comptent peu pour les apparatchiks syndicaux, qui se partagent comme des barons les fruits du 1% patronal et possèdent un pouvoir démesuré dans l’entreprise.

Aucun pays occidental possède un taux de syndication aussi bas que la France… et pourtant aucun pays au monde ne dispose de syndicats avec autant d’argent et un tel pouvoir de nuisance. Il y a définitivement quelque chose qui cloche au royaume de la CGT.

Une CGT qui n’hésite d’ailleurs pas à empêcher la parution de Ouest-France (premier tirage français de la presse régionale) le jour où Nicolas Sarkozy y donne une interview… S’il n’y a pas là entrave à la démocratie et une preuve flagrante de l’instrumentalisation du syndicat.

On vous recommande

A propos de l'auteur lateigne (24actu)

10 réactions à “CGT : faux syndicat, vraie arme de déstabilisation de gauche”

  1. Notre quotidien tenait à vous féliciter pour votre qualité rédactionnelle et la pertinence de vos articles. Bravo et bonne continuation. Ouest-France continuera à se battre contre le communisme et le syndicalisme tant que ces menaces anti-catholique n'auront pas été totalement exterminée. Bonne continuation. Le Groupe Ouest-France.

  2. Je suis un peu moins dithyrambique que les deux commentaires précédents : il serait bon que les article soient un peu mieux relus et corrigés des fautes d'othographe, d'accords et de frappes… ([ les patrons des cenrtales syndicales…] par exemple.

  3. Une telle presse ! C'est beau! Non au communisme, non au partage des richesses, Vive Ouest-France, Vive 24heuresactu!

  4. Un seul homme a pour l'instant fait battre en retraite la CGT, c'est Sarko,.
    Il n'a pas reculé devant des démonstrations de force, dont les chiffres honteusement gonflés, frisaient le ridicule. Démonstrations qui se sont dégonflées tout doucement parce que les gens au fond savaient que Sarko avait raison.
    Les syndicats ont perdu leur légitimité depuis longtemps et ils ont été battus sur leur propre terrain. La CGT n'est rien sorti des transports, des ports, c'est à dire les endroits ou son pouvoir de nuisance est immense malheureusement.
    Héritage de deux ministres des transports communistes qui ont bien soignés leur clientèle au détriment des intérêts nationaux et qui ont même fait reculer la France, comme par exemple nos ports qui sont devenus ridicules face à la concurrence… merci la CGT, syndicat corporatiste, les luttes ouvrières sont devenus des luttes d'avantages exorbitants payés par la collectivité.
    Les relents communistes imprègnent encore ces gens et leurs méthodes fascistes… on est bien campé avec des fainéants pareils!…

  5. Comme vous dîtes et je reprend votre slogan avec passion: Non au communisme, non au partage des richesses!

  6. Les syndicats bolcheviko-communisto-cheguevariste ne pensent qu'à l'argent! Heureusement qu'il y a des syndicats comme le Medef qui sont soucieux de l'intérêt général et des petites gens! Non au communisme, non au partage des richesses!

  7. La CGT est relativement calme en ce moment, elle a tellement de casseroles au cul dans le domaine de malversations dans le financement de certains CE de grandes entreprises publiques voire même de certains syndicalistes (affaire des métallos) qu'ils sont tenus par les boules par Sarko qui les fait taire au niveau des gréves, en contre partie les affaires de justice impliquant la CGT n'avancent pas (avec la complicité des juges francs-maçons).
    Il ne leur reste plus que cela pour donner le change vis a vis de leur troupes, mais personne n'est dupe.

  8. a part que la CGT ne prend pas parti pour le PS et François Hollande !
    et le syndicalisme en france ne fonctionne pas comme dans d'autres pays d'europe où celui-ci sert aussi d emutuelle, entre autre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.