
Aujourd’hui, deux centrales nucléaires françaises ont été victimes d’intrusions d’activistes antinucléaires. Un « poète-escaladeur » (qui fait actuellement l’objet d’une expertise psychiatrique) s’est introduit dans la zone non nucléaire de Civaux et un militant allemand de Greenpeace a atterri sur le toit de la centrale du Bugey avec un para-moteur. Dans les deux cas, les extrémistes verts ont prouvé le contraire de ce qu’ils cherchaient à démontrer : l’efficacité des mesures de sécurité.
Mercredi matin, un homme a survolé la centrale nucléaire du Bugey, avant de se poser sur le toit du bâtiment et d’y allumer un fumigène. En huit minutes, les autorités ont arrêté le militant de Greenpeace de nationalité allemande. D’après la gendarmerie, le militant était identifié avant même de survoler la zone nucléaire.
L’opération de l’organisme écologiste voulait prouver que la sécurité de la centrale ne serait pas efficace en cas d’attaque aérienne terroriste. Elle a démontré le contraire. Le sous-préfet de l’Ain a expliqué que cet épisode « a montré une excellente réactivité des services et une parfaite coordination entre l’exploitant, EDF, et les forces de gendarmerie« .
Un peu plus tard, dans l’après-midi, Hervé Couasnon, un marginal qui se fait appeler (véridique) « le poète-escaladeur » est entré dans la centrale de Civaux. En profitant de la sortie d’un camion, il avait franchi la barrière de la première zone de sécurité du site. L’homme s’est fait voir dès son entrée sur le site. Il a été suivi et le dispositif de sécurité a été déclenché jusqu’à l’arrestation de l’homme.
Selon un porte parole d’EDF, le poète-escaladeur « a été interpellé, saisi dans un buisson situé juste à côté de l’entrée » et a seulement pénétré une zone « dans laquelle se trouvent les batîments administratifs et le poste d’accueil de la centrale, mais aucune installation industrielle et encore moins nucléaire« . Une opération ridicule qui voulait jeter l’opprobre sur des services de sécurité qui font pourtant correctement leur travail.
La tentative de manipuler l’opinion publique par une stratégie de communication malhonnête, illégale et dangereuse s’est avérée contre-productive. Un joli camouflet pour les ayatollahs verts de Greenpeace et pour tous les activistes totalitaires.
Qu’est ce qu’ils veulent ? Qu’on mette des batteries antiaériennes, des mitrailleuses et des snipers pour abattre tout intrus pénétrant dans la zone ? Il faut des morts ?
Les Kmers verts sont ridicules c’est pas un parachutiste qui va mettre à mal la sécurité des centrales.
Rappel, Fessenheim la centrale en parfait état que Hollandréou veut supprimer parce qu’elle est sur une zone sismique, savez vous de quand date le dernier tremblement de terre ? C’était à Bâle en 1356, à 50 Km, le roi de France de l’époque était Jean II de France, dit Jean le Bon.
les Allemands eux au moins à la première grosse alerte ils ont immédiatement mis l’atome au rebut pour se lancer dans le renouvelable et dans 5 ans ils serons leader dans ce domaine et nous toujours derrière.
Vous dîtes : « stratégie de communication dangereuse ». C’est donc que d’après vous, il peut y avoir un danger à s’attaquer à nos centrales ?
Non parce qu’on nous avait dit qu’il n’y avait AUCUN problème de sécurité dans nos centrales, donc AUCUN danger.
Mais apparemment, on nous aurait menti ?
dans l’ensemble je suis plutot d’accord avec vous sauf que civaux , ça prend pas de E .