Déontologie journalistique : Audrey Pulvar pleurniche

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audrey_pulvar_socialisteAprès avoir mené, tambour battant, la campagne présidentielle pour François Hollande sur les antennes du service public, Audrey Pulvar a été récompensée et son homme a obtenu un ministère. Les chaines ont ensuite décidé de suivre la déontologie journalistique de base et de ne pas maintenir en poste une femme de ministre. De quoi provoquer la colère de l’intellectuelle en mini jupe qui pensait avoir désormais tous les droits…

Comment Audrey Pulvar va-t-elle pouvoir défendre la politique industrielle de son mari et du gouvernement de Jean-Marc Ayrault si elle ne dispose plus de la télévision et de la radio publiques françaises pour propager ses idées supérieures ? C’est la question que se pose Libération…

Le 15 juin, Audrey Pulvar donnait une interview à l’organe de presse officiel du PS, Libération, afin de se plaindre du traitement que lui a réservé France Télévision. La militante socialiste estime avoir été prise « pour une conne ».

« Ça fait vingt ans que je fais ce métier, j’ai rarement vu les chaînes de télé boucler leurs grilles de septembre le 1er juin, surtout si elles ont envie de travailler avec quelqu’un. Non seulement je suis cataloguée ‘femme de’, mais en plus on me prend pour une conne : c’est doublement désagréable. Ça remet l’ego en place… Rémy Pflimlin m’a dit : ‘Peut-être en janvier.’ Oui, c’est ça, prends-moi pour un jambon« , a déclaré une Audrey dépitée, qui se demande comment elle va passer ses journées.

Elle pourrait peut-être trouver un poste de chroniqueuse dans un site internet indépendant si elle ne lançait pas de procédures judiciaires dans le but de museler ceux qui ne partagent pas sa vision du monde… Mieux, elle pourrait rejoindre les starlettes Valérie Trierweiler et Cécile de Ménibus sur Direct 8, ou présenter une téléréalité avec Faustine Bollaert…

« Je voudrais qu’on m’explique de manière rationnelle pourquoi, en tant que femme de quelqu’un qui est au gouvernement, je serais plus influencée, plus soupçonnable qu’un journaliste qui est copain d’un leader politique, dîne avec lui, est parrain de son fils, part en vacances avec lui« , se demande ainsi la « compagne » d’Arnaud Montebourg. Mais bien évidement Audrey, un copain avec qui on part en vacances exerce plus d’influence que la personne avec qui on vit quotidiennement… Se rend-elle seulement compte de ce qu’elle raconte ou bien est-elle tellement prisonnière de son idéologie nauséabonde qu’elle croit vraiment en ces sornettes ?

Non contentent de se lamenter sur son sort pathétique de femme de ministre bourgeoise gauche caviar (elle avait tout de même été nommée chez Ruquier pile pour la période d’élection présidentielle…), la jolie plante se sent même obligée de défendre Valérie Trierweiler, lors du grotesque TweetWeilergate.

« J’aimerais qu’on se mette de temps en temps à la place de Valérie Trierweiler à qui on explique qu’elle n’a plus le droit de s’exprimer, de se mouvoir que dans ce cadre-là. […] Laissons-lui le droit à quelques errements. Le Fouquet’s ne faisait pas un programme politique, le tweet de Valérie Trierweiler non plus« , a-t-elle expliqué.

Les interférences entre « histoires de slip« , politique et journalisme, c’est maintenant !


 

 

 

 

 

 

 

 

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A propos de l'auteur lesoufflet

4 réactions à “Déontologie journalistique : Audrey Pulvar pleurniche”

  1. le site qui vous parle d’actualité autrement…. on rêve
    je ne sais pas qui se cache sous le doux nom du soufflet mais cette chose retombe vite en dégageant une odeur très nauséabonde par le ton de ses commentaires sur Audrey Pulvar. Ca ne vaut même pas une polémique tellement c’est minable. Mon pauvre vieux tu ne lui arrives même pas à la hauteur de l’ongle du doigt de pied ! et comme ça tu fais le malin mais en fait tu as les jetons de cette nana qui en a certainement plus dans le slip (comme tu dis si bien) que toi, seule la peur peut en effet expliquer tant de bassesse. Audrey ne te laisses pas abattre par tous ces cons, on est avec toi

    Louis Dubreuil (je signe de mon nom)

  2. Ce soir sur France Info, de la musique en continu, plus de journal… Bizarre !

    La gauche a tous les pouvoirs le 17/06 au soir et dès le 18/06, plus rien sur France Info. Ce service « public » serait-il déjà en grève pour toujours plus d’avantages ?

    Faut-il croire que le propagandastaffel de la gauche réclame déjà sa récompense pour avoir si bien utilisé une radio d’Etat en faveur d’un candidat ?

    Quant à Mme Pulvar… Dans un pays soviétique, ce n’est pas un problème qu’une femme de ministre soit journaliste politique.

    Dans un pays démocratique, 2 ministres et un Président ayant des conjoints journalistes faisant de la polititique (et de quelle façon, n’est-ce pas Mme Trierweiller ?), c’est tous simplement inadmissible.

  3. Et bien on suggère à Pulvar de repartir voir ses parents parait-il indépendantistes en Martinique en emmenant avec elle sa copine Taubira. Cela fera des vacances à tout le monde…
    Et si elle a la classe qu’elle prétend avoir, qu’elle offre aussi la ballade à Dubreuil, président et membre unique de son fan club.
    La connerie de la gôche n’a d’égale que son allergie à la critique….

  4. Quel culot !

    l’éthique simple est que l’on ne peut être juge et parti ..

    Déontologiquement et humainement lorsque l’on a un peu de respect pour sa fonction on se l’applique à soi même..

    Ces journalistes manquent de discernement d’humilité et de respect pour leur auditeurs..

    ils ont abaissé par leurs comportements la valeur de ce métier.

    Il est temps que cela change..

    On en reparle dans 2 ans quand la gauche aura fait tellement de dégâts, que tous ces petits bobos gauchos n’auront plus qu’une idée .. celle de de se faire tout petit

    et enfin on aura la paix et l’on pourra espérer reconstruire ce pays sur de vraies valeurs !!!

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