

Comme il fallait s’y attendre, le nouveau gouvernement, incompétent et passif sur les dossiers socio-économiques, se donne une bonne conscience de gôche avec les thématiques sociétales démagogiques et vides de sens. En pleine crise mondiale, avec le taux de chômage qui explose et les Français qui s’inquiètent de plus en plus, le Premier ministre a déclaré que la lutte contre le racisme et l’antisémitisme est une « priorité » de son gouvernement. Après l’homoparentalité, maintenant ça ! Pourquoi les socialistes sont-ils si déconnectés des préoccupations du peuple ?
Le 10 septembre, Jean-Marc Ayrault a inauguré le Mémorial du camp des Milles à Aix-en-Provence, où il a annoncé un « plan d’action » pour lutter contre l’antisémitisme et le racisme. Woaw !! Un plan d’action !!??!! Trop classe !
Que les méchants antisémites et racistes se terrent dans leur beaufitude, car notre super Ayrault a sorti sa phrase choc : « La lutte contre le racisme et l’antisémitisme est une priorité de mon gouvernement« .
Les vilains n’ont qu’à bien se tenir, le plan urgent du gouvernement sera présenté « dans les prochaines semaines« . Quel courage politique !
Sérieusement ? Dans le contexte économique et social de notre pays, c’est ça la priorité ? L’éducation, la dette de l’état, l’insécurité, le chômage, la formation, l’Europe, les conflits internationaux… tout ça passe après la lutte contre l’antisémitisme et le racisme ?
Au fond, on sait bien qu’avec leur soupe progressiste les socialistes tentent uniquement de dissimuler leurs comportements répugnants, entre incompétence caractérisée et conflits d’intérêts qui poussent en cette saison comme les champignons, le tout sur fond de soumission absolue à la loi du fric.
Après l’homophobie, le machisme, le racisme et l’antisémitisme, les socialistes vont-ils faire de la lutte contre le Sida, la faim dans le monde et la guerre une nouvelle priorité ?
Le premier ministre le moins charismatique de la Ve république (en même temps il fallait bien en trouver un avec encore moins de prestance que son président…) a perdu une bonne occasion de se taire, lui qui n’est pourtant pas bien bavard.
En ancienne Allemagne de l´est, la priorité était « l´antifascisme » (ne rigolez pas!), ce qui permettait d´essayer de cacher beaucoup d´effets secondaires de leur fascisme rouge…Mais peut on être fasciste si on est antifasciste nous demandent les gogos ? Bien sûr! Ainsi beaucoup d´anti-racistes sont en faite les pires des racistes.