« Racisme anti-Blanc », Front National et police de la pensée

Photo : antoine.muller7

A peine le deuil de Nicolas Sarkozy digéré par nos amis journalistes de gôche, la meute médiatique s’est trouvée un nouveau suppôt de Satan en la personne de Jean-François Copé et de son concept de « racisme anti-blanc ». L’occasion de ressortir les bons vieux anathèmes de la « dérive droitière », « de la course au Front National » et de la « lepénisation des esprits ».

Le sens de la mesure et de la perspective n’est pas le point fort de la classe médiatique française quand il s’agit de parler d’identité nationale et des dérèglements hérités de trente années de multiculturalisme (icone adorée de nos chers journalistes).

Dans ce contexte, la réflexion de bon sens de Jean-François Copé sur le « racisme anti-Blanc » et le malaise des derniers « Gaulois » vivant encore dans certaines banlieues difficiles, leur est insuportable.

Voilà donc les salles de rédaction prêtes à dresser de nouvelles forteresses morales contre les « crispations identitaires » de Jean-François Copé et de la droite française. Les plus audacieux éditorialistes, conscients du processus de normalisation amorcé par Marine Le Pen et le Front National, estiment que les propos du maire de Meaux ne peuvent désormais être comparés qu’à ceux du Bloc Identitaire, groupuscule d’extrême-droite qui fait passer le FN pour des bobos libertaires.

Et derrière les indignations de façade des belles âmes de gôche, on sent clairement poindre une délectation inavouable. Le Mal est toujours là, tapi dans l’ombre… et ils pourront continuer à se draper dans leurs postures morales pour faire la leçon au brave Peuple de France pour éviter que Jean-François Copé et consorts ne nous ramènent « aux heures les plus sombres de notre histoire ».

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A propos de l'auteur lateigne (24actu)

4 réactions à “« Racisme anti-Blanc », Front National et police de la pensée”

  1. Mais cette fois ci c’est vrai. La France se « brésilianise ». On a pas fini de rire… ou pleurer.

  2. Un jour on finira bien par crnoremdpe que Le meilleur des mondes n’avait rien d’une fiction. Et la socie9te9 coulera enfin les jours heureux et tranquilles auxquels elle aspire, berce9e par son Big Brother vigilant dote9 d’ubiquite9 (c’est vrai, je titube d’une oeuvre e0 l’autre et nous voici dans 1984), et gave9e de soma . J’ai dfb trop en prendre!Quelquefois la litte9rature et la vie, c’est pareil!

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