
Le footballeur anglais John Terry a annoncé sa retraite internationale prématurée à cause d’une dernière affaire d’insultes « racistes » qui est venue ternir son image, alors que la justice l’avait innocenté. Quand l’acharnement antiraciste prive une équipe de l’un de ses meilleurs éléments.
En Angleterre, John Terry est une icône, un véritable héros national. Ce champion a été capitaine de l’équipe nationale pendant 5 années et comptabilise 78 sélections dans l’équipe d’Angleterre. Ce footballeur exceptionnel, réputé pour sa régularité, est également le capitaine de son club de Chelsea, qui a gagné la dernière Ligue des Champions. Des années de succès qui auront été balayées d’un coup de baguette antiraciste.
Soupçonné de « racisme » par la justice anglaise, à la suite d’une dispute avec le footballeur Anton Ferdinand, John Terry avait été innocenté en juillet 2012. Non satisfaite, la fédération de football anglaise a décidé de s’acharner sur celui à qui elle doit tant et lui a imposé une commission de discipline. Le joueur, las de cet harcèlement incompréhensible, a décidé de démissionner face à cette situation absurde.
« J’estime qu’en maintenant ses poursuites alors que j’ai été lavé de tout soupçon par un tribunal, la Fédération anglaise a rendu ma position vis-à-vis de l’équipe nationale intenable », a-t-il expliqué.
L’entraineur de l’équipe nationale anglaise, Roy Hodgson a fait part de sa déception et de son respect pour le joueur de Chelsea : « Je voudrais remercier John Terry pour son implication au sein de l’équipe d’Angleterre depuis ma prise de fonctions. Je suis bien entendu très déçu de perdre un joueur aussi talentueux et expérimenté que lui », a-t-il déclaré.
Un grand champion, un patriote, sali et mis au banc de la société au nom de la chasse aux sorcières antiracistes, qui semble aussi absurde et haineuse en Angleterre que par chez nous. Quand les chimères des Don Quichotte antiracistes ont besoin d’être personnifiées, un bouc émissaire fini toujours par payer.
Il faut croire que des soupçons de racisme pèsent plus lourd que ses fait avérés d’agression sexuelle…
il est vrai qu’un « soupçon » harcèlement sexuel dans les vestiaires eut été plus cocasse de la part d’un footeux (le foot, c’est pas un sport de pédé, c’est bien connu). Et puis l’injure supposément utilisée (« fucking black cunt », « putain de pédé black », grosso modo en frenchie), c’est vrai qu’on est loin de l’insulte raciste… On se demande bien comment on peut s’insurger qu’une star, une légende, bref, un exemple comme John Terry peut être moralement harcelé par toute cette bienpensance de gauche avec un langage aussi fleurit.
Quand au « patriotisme » supposé de ce « footballeur exceptionnel », la star de la baballe au pied english n’a un passé pas tellement reluisant: tromper sa propre femme avec l’ex de son meilleur pote (la top modèle française Vanesse Perroncel), avouez que ça ne fait pas trop patriote…
Comme vous dites :l’injure supposément utilisée « ! car elle n’a pas été retenue par la Justice anglaise, petit détail je sais ..
oui mais vu les antécédents du bonhomme, le doute n’est pas tellement permis sur ce genre de propos. Et le fait qu’elle n’ait pas été retenu ne veut pas dire qu’elle n’ait été jamais dite.
Excusez moi , Denis , mais votre argumentation genre : »vu les antécédents du bonhomme « … et « qu’une accusation non retenue , rien n’empêche qu’elle ait été dite » !! Aie aie aie on va loin comme ça ; et je ne vous souhaite pas d tomber sur une Justice fonctionnant à ce carburant ..
Très simple, je garde mes nerfs (comme disait Nico à Ségo) et j’évite d’insulter à tout va. Jusqu’à présent, ça fonctionne très bien…
Cela rappel grandement la chasse aux sorcières …m’enfin, un système qui persécute de cette manière n’a plus beaucoup de temps a tenir car il y a une chose qui révulse le bon peuple et qu’importe sa race (si ça existe) ou sa religion c’est l’injustice .
et l’acharnement qui dans ce cas relève de la tyrannie morale, système politique le plus méprisable qui soit