

Qui n’a pas peur de l’Opus Dei ? Depuis des années, cette organisation est victime de rumeurs et théories complotistes en tous genres alimentées par les médias ou des romanciers à la recherche de succès populaire. Ces accusations sont à mille lieues de la réalité de l’Opus Dei, une institution ancrée dans l’action sociale.
A première vue, il semble qu’une école hôtelière dans l’Aisne qui forme depuis 1970 aux métiers de l’hôtellerie et la restauration, un dispensaire transformé en centre hospitalier à Kinshasa (République Démocratique du Congo), l’université de la Sabana en Colombie, un Centre d’Aide au Développement Intégral (CADI) au sein de bidonvilles près de Montevideo (Uruguay) n’aient pas grand’ chose en commun.
Pourtant, tous ces établissements à vocation sociale sont des initiatives soutenues par l’Opus Dei. Discrètement, l’institution accompagne spirituellement ces établissements destinés à améliorer la vie des gens et encourage fortement les initiatives sociales de ce genre. Cependant, ceux qui bâtissent et promeuvent ces projets le font sous leur propre responsabilité. L’Opus Dei tient à ce que ses fidèles multiplient eux-mêmes les initiatives de ce genre.
L’organisation créée en 1928 par Josemaría Escrivá de Balaguer – canonisé par le pape Jean-Paul II en 2002 – a théorisé depuis longtemps sa volonté d’aider les gens dans leur vie de tous les jours. Ainsi, son fondateur déclarait en 1973 : « « En tant qu’institution de l’Eglise, nous érigeons avec le concours d’un grand nombre de personnes qui ne sont pas membres de l’Œuvre – et qui souvent ne sont pas chrétiennes – des entreprises collectives au moyen desquelles l’Œuvre tâche de contribuer à la solution de tant de problèmes qui se posent dans le monde actuel. Ce sont des centres d’éducation, d’assistance, de promotion et de formation professionnelle, etc. »
Ainsi, le message de cette prélature personnelle a toujours été social et son application se réalise sous la forme de projets solidaires aux quatre coins du monde. Une réalité bien éloignée des clichés et du best-seller de l’écrivain américain Dan Brown.
Ces établissements à vocation sociale sont en réalité de veritables usines à recruter de futurs membres de l’Opus Dei.Il est parce que c’est si facile d’y rentrer mais tellement difficile et desastreux pour la vie « d’après » qu’il faut s’interesser à ces etablissements.Je le sais, je l’ai vécu…
Qu’est-ce que c’est que cet article de propagande ? Du journalisme?
J’ai bien connu l’Opus Dei (il n’y a qu’à voir mon pseudo, issu de mon baptême en latin…), et en effet son action sociale est souvent négligée par ses détracteurs. Action sociale qui, vous ne le relevez étonnamment pas, ne s’inscrit pas sur le territoire français.
Mais en quoi des actions sociales réelles s’opposeraient-elles à l’élitisme de l’Opus Dei? A son lobbying ? Les gens de l’Opus Dei le disent eux-mêmes : il faut toucher les élites pour toucher la société. Avez vous déjà mis les pieds dans un « centre » à Paris? 5ème, 6ème, 7ème, Neuilly, Puteaux : jamais ailleurs que dans des beaux quartiers, et dans de somptueux hôtels particuliers.
Votre article en vaudrait un autre qui dirait que Total n’est pas un pollueur parce qu’il paie des actions de préservation de l’environnement : de la propagande, ou de l’aveuglement coupable.
il semblerait que cet article est une reprise d’ un communiqué de Presse ; une campagne de l’opus dei pour décentrer son image vers du « social » . C’est de la pur intox. Il suffit d’avoir fréquenté les opusiens pour voir la tentative de manipulation des médias. Le service de presse de l’Opus : de l’intox la plus basique.
j’aime et je veux bien m’adhérer comment faire?