

A la suite du couac pathétique autour de l’usine Mittal de Florange, Arnaud Montebourg aurait crié sur son président et son premier ministre qui, comme à leur habitude, se sont courbés, semblables à des carpettes et ont exprimé leurs excuses publiques au ministre du redressement productif.
Arnaud Montebourg, l’homme qui demande aux investisseurs dont les entreprises créent 20.000 emplois en France, de rentrer chez eux, avait préparé le dossier Mittal depuis des mois. Pourtant, en quelques jours, Jean-Marc Ayrault lui a savoné la planche, faisant passer ses positions pour irresponsables et irréalistes (à tort ?), tout en donant l’impression qu’il a bouclé le dossier tout seul.
De quoi rendre furieux l’ex d’Audrey Pulvar. D’après le Point, Arnaud Montebourg aurait appelé François Hollande et l’aurait faché comme un petit garçon pris sur le fait. « Ce n’est pas le ministre du Redressement productif qui te parle, c’est le troisième homme de la primaire sans lequel tu ne serais pas là. Il y a un accord historique entre nous« , lui aurait-il dit. Peut-être Mélenchon ne lui aura pas expliqué la conception de Hollande des accords et de la loyauté…
Quoi qu’il en soit, après s’etre fait tirer les oreilles par son propre ministre, François Hollande a fait sa spécialité : il a baissé les yeux, s’est excusé et a promis d’obéir à Montebourg et de faire tout ce que ce dernier voudrait. Le président de la République a donc appellé Ayrault et lui a imposé de publier des excuses officielles.
Le premier ministre s’est exécuté, mais il n’a pas apprécié. D’autant plus que, toujours selon Le Point, Arnaud Montebourg aurait également appelé son premier ministre, avec qui la conversation téléphonique aurait été particulièrement houleuse. Le chevalier blanc aurait hurlé sur son supérieur de manière particulièrement virulente, avant de lui racrocher au nez. La classe les socialos !!
Désormais, dans l’armée française, le caporal a le droit de cracher au visage de son colonel. Il peut même dicter des ordres au général en chef. Les éléphants socialistes nous avaient prévenus : a quoi d’autre peut-on s’attendre en élisant une « fraise des bois » (Fabius) ou une « couille molle » (Aubry).
Le lâcheté gouvernementale, c’est maintenant !
Si ça continue ils vont nous construire un mur le long de nos frontières. C´est Melenchon qui va être content!
La RDA c´est maintenant!!
La menace et le chantage ne font pa
…… ne font pas une politique industrielle , pire c’est une arme utilisée par les faibles , l’exacte illustration de notre gouvernement socialiste , des lopettes et rien d’autre.
quel bel exemple, et dire que ces gens se permettent de juger les autres du haut de leur « grandeur »….