Mariage homo : Libération, progrès et « l’aventure pédophile »

jack_lang_pere_noel
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Jouir sans entrave !

Un article incroyable de Libération rappelle et justifie en partie les mouvements de soutien à la pédophilie qu’avait notamment lancés Libération à la fin des années 70. Le journaliste de Libé y décrit l’idéologie nihiliste soixante-huitarde qu’il dénonce sans se rendre compte que c’est exactement la même mécanique de pensée qui est à l’origine du mariage pour tous et que Libé continue de diffuser quotidiennement.

La semaine dernière, nous étions revenus sur les incroyables pétitions et tribunes publiées par Libération, Le Monde, Le Nouvel Obs et divers socialistes (dont le fameux Jack Lang, très impliqué en faveur du mariage pour tous), afin de soutenir le droit à la pédophilie, à la fin des années 70 et au début des années 80. Un droit qu’ils appelaient « l’aventure pédophile » et qu’ils défendaient au nom de l’égalité et de la liberté. Ça vous rappelle quelque-chose ?

Dans cet article daté du 23 février 2001 et intitulé « Libé en écho d’un vertige commun », le journaliste cite différents passages de Libération de l’époque. Il illustre ainsi toute l’ignominie des idéologies libertaires en vigueur dans la gôche française, qui utilisait déjà à l’époque exactement les mêmes arguments qu’aujourd’hui pour imposer sa société vidée de toute morale, de toute esthétique.

Pour dénoncer une idéologie qui est toujours en vogue sur son lieu de travail, l’auteur de cet article commence par citer le passage d’une interview publiée dans Libération en…1981 !!! L’année de l’élection de tonton !

Libération ouvrait ainsi ses pages aux pédophiles pour que ceux-ci puissent raconter leurs pratiques progressistes. L’un d’eux, Benoit, y écrivait ceci :

«Je faisais un cunnilingus à une amie. Sa fille, âgée de cinq ans, paraissait dormir dans son petit lit mitoyen. Quand j’ai eu fini, la petite s’est placée sur le dos en écartant les cuisses et, très sérieusement, me dit « à mon tour, maintenant ». Elle était adorable. Nos rapports se sont poursuivis pendant trois ans.»

Et le journaliste de l’époque, comme pour montrer que la pédophilie était une pratique sexuelle comme les autres, nous expliquait comme l’homme était ému quand il parlait des petites filles avec qui il avait des rapports sexuels : «Quand Benoît parle des enfants, ses yeux sombres de pâtre grec s’embrasent de tendresse.»  Le titre de cet article de Libération ne laisse pas non plus beaucoup d’ambiguïté : «câlins enfantins».

Le journaliste qui a ressorti ce dossier énorme, où l’on voit bien comment les arguments creux du mariage pour tous sont les mêmes que ceux utilisés alors pour défendre la pédophilie, a, au delà d’une forme d’honnêteté intellectuelle et de courage, une certaine intelligence, puisqu’il décrit à merveille l’idéologie et le processus mental qui ont mené ces hommes à défendre une horreur comme la pédophilie.

« L’interdiction, n’importe laquelle, est ressentie comme appartenant au vieux monde, à celui des aigris, des oppresseurs, des milices patronales, des policiers matraqueurs, des corrompus. La pensée est en confusion.

[…]

Il ne faut mépriser personne, entendre toute minorité. Respecter le droit à la différence. La pédophilie, qui ne dit pas son nom, est un simple élément de cette tourmente.

[…]

D’autres, comme ces pétitionnaires qui demandent la modification de la loi, associent sans malice, sans calcul, sans démagogie le texte protégeant les mineurs aux textes ­ tout juste abrogés ­ réprimant «l’adultère, l’interruption de grossesse et les pratiques anticonceptionnelles». Coucher avec un enfant? Une liberté comme les autres. Sous toutes les plumes, toujours, d’articles en tracts et de prises de parole en tribunes libres, les mêmes mots reviennent : «l’évolution de notre société». «Il faut changer la vie», écrit en 1979 dans Libération, un pédophile emprisonné. «Nos lois sur la sexualité des mineurs ne sont plus en adéquation avec cette époque», écrivent d’autres pétitionnaires. »

On ne saurait mieux décrire la bêtise morbide de l’idéologie soixante-huitarde progressiste et anticonformiste, mais on peut regretter que le journaliste n’ait pas réalisé que la gauche française n’a pas évolué d’un poil depuis l’époque. On voit bien comment les arguments en faveur du mariage pour tous résonnaient déjà à l’époque, on sent encore et toujours cette volonté de détruire toute valeur, toute morale. Les arguments ci-dessus en gras sont prononcés chaque jour par les défenseurs du mariage homo depuis que ce projet de loi orwellien fait débat. On dirait du Najat Belkacem dans le texte (c’est un progrès, comme l’IVG ou la pilule, la société a évolué, il faut bien s’adapter…).

«Elle gazouille quand elle éprouve du plaisir», écrivait également Benoit au sujet de la fillette de 5 ans dans les lignes du même Libération qui nous sort aujourd’hui des pétitions et tribunes en faveur du pseudo « mariage pour tous », summum du progrès et de l’adaptation à l’évolution de la société après ‘l’aventure pédophile »!

A chaque époque ses aberrations, mais Libération est toujours dans le ton…

Tous à la manif dimanche prochain !!!

 

 

 

 

 

 

 

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A propos de l'auteur lesoufflet

17 réactions à “Mariage homo : Libération, progrès et « l’aventure pédophile »”

  1. Prochaine loi écolos-socialiste, abaisser l´age de l´autorisation aux rapports sexuels à 10 ans (dans un premier temps, il ne faut pas choquer le militant)… »Ben oui quoi, après tout s´ils sont consentants… ».
    A qui le prochain « César » ?!

  2. On le dit depuis des mois:

    En faisant abstraction de toute valeur morale ou religieuse, il est certain que les lois humaines peuvent être modifiées au grè des revendications des minorités agitées:
    Après le mariage gay, l’adoption, puis la procréation médicale assistée pour lesbiennes, puis la gestation pour autrui-mère porteuse-pour femme seule, rémunérée ou non, puis la polygamie et l’andogamie, puis la pédophilie, puis l’inceste, etc…..Tout est désormais envisageable.

    Malgré les dénégations du lobby LGBT et des socialos sur un tel avenir, rappelons nous de la garde des Sceaux socialo E. Guigou lors du débat Pacs 1998, affirmant que le mariage gay ne serait jamais autorisé …!

    C’est maintenant qu’il faut agir,
    après il sera trop tard !

  3. Je ne suis pas d’accord avec votre méthode, et pourtant, je suis opposé à la PMA. Autant la question de l’égalité pour le mariage civil, à la rigueur, est défendable pour les homosexuels (questions financières, de protection du conjoint, des reversements après le décès…) et l’Église n’a pas à s’en mêler. Autant la PMA ne me semble pas concerner la question de l’égalité des droits (c’est un droit d’avoir des enfants ?).

    Mais je ne saisis pas votre méthode. Pourquoi des images débiles en fond d’écran ?
    Et une question.
    François Hollande est président de la République.
    A priori, qu’est-ce qu’il en a à faire du lobby homo ?

    1. C’est la seule promesse électorale que le Flan et ses sbires pourraient arriver à faire voter !

  4. Aller contre nature ne géne pas le PS. Qu’ils y aient des gens éfféminé ou aillant des pulsions homosexsuelles ne me géne pas outre mesure; de la à en faire une légalité, j’y vois seulement la décadence de l’humanité et de nos dirigeants.

  5. JACK LANG, déclarait le 31 janvier 1991 à Gay Pied : « La sexualité puérile est encore un continent interdit, aux découvreurs du XXIe siècle d’en aborder les rivages. » (sic)

  6. 10 ans que la loi a été votée en Belgique, 8 ans en Espagne. Réveillez-vous! On s’en fout! Il y a des gens qui crèvent de faim et de froid sous vos fenêtres. Offrez du réconfort à ceux-là et laissez les autres s’aimer comme ils l’entendent.

  7. @ Stan

    Le droit à l’amour, les homos l’ont déjà. C’est des enfants qu’il est question, et de tout ce qui tourne autour.

    Qu’est ce qu’on s’en cogne de l’Espagne et de la Belgique ? En Ouganda, c’est la peine de mort pour tous les homos.

    Entre peine de mort et droit sur les enfants, il y a peut être un juste milieu, non ?

    Hollande n’a jamais donné qu’un seul argument sérieux : La situation des homos qui vivent avec des enfants et qui sont parait-il brimés. Combien sont-ils ? Des gays ou des lesbiennes ? Et les enfants, sont-ils vraiment normaux ?

    Tout porte à croire qu’il ne s’agit que de lesbiennes et que leurs enfants sont maltraités et/ou psychologiquement instables.

    Qu’en est-il vraiment ?

    On ne peut pas savoir, on n’a pas de statistiques. Parait que les statistiques, c’est discriminant. Pas pour les criminels en tout cas…

    C’est tout ce qu’on veut savoir : Qui, quoi, où, comment ?

    Répond à ces questions d’abord, tu nous baratinera avec sur l’amour et les bons sentiments après.

    On n’est pas à l’église en train de faire des sermons sur la nature humaine et l’homophobie. On est devant un problème de société et si tu n’as pas des chiffres à avancer, tu peux rester chez toi.

    Donc avant de parler des lois sur le mariage, faudrait parler des lois sur les statistiques et la discrimination.

    Le droit de savoir, tu connais ?

    Je t’en foutrais moi, du droit d’aimer.

  8. Ma copine et moi, on est trisomique tous les deux, alors on hésite : Procréer ou adopter ? Qu’est ce qui serait le plus sage ?

    L’amour excuse tout !

  9. USA: Deux hommes pedophiles déguisés en homosexuels « mariés » accusés de viols criminels avec tortures par 5 de leurs enfants adoptés – Avril 2013
    Cela se passe aux États-Unis, à Glastonbury dans l’État du Connecticut. George Harasz, 49 ans, et Douglas Wirth, 45 ans, deux hommes « mariés » ensemble vont avoir à répondre devant la justice des accusations de pédophilie, viols et tortures formulées à leur encontre par des garçons entre cinq et seize ans qu’ils ont adoptés.
    En décembre 2010, un journal local, le Hartford Courant, publiait un article vantant les mérites de ce couple « marié » qui avait pris le parti d’adopter des enfants souffrant de « troubles de l’attachement », abandonnés par leurs parents, et de les aider à surmonter leurs difficultés émotionnelles grâce aux contacts avec les chiens. MM. Harasz et Wirth ont en effet un élevage canin qui leur permet aussi de gagner l’argent nécessaire à l’entretien de leur maison, le travail salarié du « mari » de M. Harasz, M. Wirth, ne suffisant plus à subvenir aux besoins de cette grande famille unisexe. Les neufs enfants adoptifs du couple sont trois groupes de frères adoptés successivement.
    Les deux hommes ont été arrêtés en décembre 2011 après que deux de leurs fils adoptifs, âgés respectivement de 5 et 15 ans, les ont accusés de sévices sexuels avec coups et blessures. Pour le parquet du Connecticut, l’affaire était cependant compliquée car les sept autres garçons niaient qu’il y ait pu y avoir de tels actes de la part de leurs deux pères adoptifs et l’accusation manquait de preuves tangibles alors que les deux hommes clamaient leur innocence. Un ami du couple a même accusé les deux garçons de chercher à soutirer de l’argent à leurs deux pères adoptifs. Un accord avait donc été passé entre le procureur et les accusés qui allait leur éviter un procès s’ils acceptaient une peine avec sursis. Les deux « époux » ont cependant dénoncé cet accord quand ils ont appris qu’ils allaient être inscrits sur la liste des délinquants sexuels.
    Seulement voilà, début avril 2013, trois autres garçons élevés par les deux hommes ont dénoncé à leur tour les sévices physiques et sexuels subis. L’un des garçons parle d’agressions sexuelles depuis qu’il avait 6 ans : « Ils me violaient à tour de rôle et recommençaient sans arrêt », a-t-il affirmé. Avec cinq garçons sur les neuf qui accusent le couple de viols à répétition, le parquet refuse lui aussi désormais tout accord avec les accusés en vue de leur éviter un procès. George Harasz et Douglas Wirth auront à faire face aux accusations devant le tribunal de Hartford le 5 juin prochain.

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