
Entre les démagogues du gouvernement et les profiteurs de la nébuleuse Greenpeace, l’énergie nucléaire a réussi à passer le cap de la transition énergétique. Alors que le lobby nucléaire est souvent diabolisé, les élites de la République continuent de faire confiance aux choix stratégiques du général de Gaulle, même si malicieusement nos concurrents américains essayent de faire oublier qu’une troisième voie est toujours possible… A l’aide de certains détails, pourquoi ne pas essayer de mettre la lumière sur la nébuleuse anti-nuclaire et tenter de comprendre comment les « verts » ont su s’infiltrer jusque dans les poumons de notre industrie ?
Le projet de loi sur la transition énergétique tombe les masques
En visite dans les locaux d’Areva la semaine dernière, Manuel Valls se trouvait une nouvelle fois dans le sillage de son meilleur ennemi, Arnaud Montebourg. Heureusement, note le journaliste de l’énergie Olivier Schneid, le « retournement » de veste est la spécialité de notre Premier Ministre ! En effet, si en 2011 il pratiquait la danse du ventre pour séduire les écologistes-centristes de la gauche caviar, il concède aujourd’hui publiquement que le nucléaire est une filière d’avenir.
Henri Proglio, auditionné au Sénat le 24 juin dernier rappelait ainsi qu’à l’horizon 2028-2030, « les besoins en électricité de la France font que le parc nucléaire existant, y compris Flamanville, ne suffira pas à couvrir 50% » de la production nécessaire. On comprend mieux pourquoi la ministre de l’Environnement, Ségolène Royal, confiait au journal Le Monde que la France ne peut pas se passer de cette technologie, ni sur le plan financier, ni sur le plan environnemental, à moins de 500 jours de la conférence mondiale sur le climat organisée à Paris…
Le fruit pourrit par les « verts » euro-atlantistes ?
Celle que l’on surnomme maintenant « Madame 3 Milliards » n’a quand même pas eu la sottise de priver la France de sa principale arme économique dans une mondialisation qui fait toujours rage. Celle qui avait réussi à séduire les conseillers de Mitterrand pour être propulsée au Ministère de l’environnement, il y a maintenant plus de 30 ans, aurait-elle lu la biographie, Le Dernier Mitterrand ? Dans ce livre, l’auteur Georges-Marc Benamou, raconte comment l’ancien Président évoque une « guerre sans morts » entre la France et les Etats-Unis qui se déroule subrepticement …
Ségolène Royal ferait-elle donc partie de la bonne moitié du gouvernement pour DSK ? Rien n’est moins sûr quand on voit sa manière de soutenir l’Offre Publique d’Achat de General Electrics, quitte à brader nos brevets et notre savoir-faire atomique… Quand on regarde la composition du cabinet boulevard Grenelle, on se dit que peut-être l’ex de « Monsieur 3% » n’a pas récupéré son portefeuille pour ses compétences ! Après avoir un temps fait la garderie pour M. Rol-Tanguy, gentiment évacué de Fessenheim, elle a ouvert ses portes aux cerveaux du think-tank Terra-Nova, inféodés au grand capital euro-atlantiste, mais nous y reviendrons…
Quand l’écologie a un goût de pétrodollars…
Heureusement, l’administration de notre beau pays reste basée sur le système méritocratique indique le chercheur Pierre Rosanvallon. Ainsi, si nous allons nous intéresser par la suite à la composition du cabinet politique de la mère des enfants du Président, le représentant de la Direction Générale de l’énergie et du Climat, Charles-Antoine Louët, rappelle au grand public les vrais enjeux de la transition énergétique : « le nucléaire a toute sa part à jouer dans l’après-pétrole (…) Demain, le modèle électrique sera sur deux jambes : les énergies renouvelables d’un côté, le nucléaire de l’autre ».
Cette orientation, qui est finalement la seule possible, qui repose notamment sur les analyses des Polytechniciens et sur les travaux des membres éminents du corps des Mines a donc réussi à se faire entendre au sein de l’appareil d’Etat. Pourtant, la partie n’était pas gagnée d’avance, car les multinationales ont effectué un gros effort de lobbying pour faire plier la France. Rappelons que la politique énergétique reste pour l’heure de la compétence des Etats, c’est pourquoi les intérêts pétroliers américains, dénoncés entre autres par Noam Chomsky, ont également dû faire l’usage de techniques plus pernicieuses.
La nébuleuse anti-nucléaire alimente les suspicions :
Pour mieux comprendre il faut s’intéresser de plus près à cet organe Terra Nova. Proche du parti socialiste, on s’étonne d’abord que son créateur Olivier Ferrand ait été victime d’un accident vasculaire à l’âge de 43 ans, justement au lendemain de l’élection de François Hollande. Sans émettre une hypothèse complètement complotiste, on s’intéresse ensuite à l’agent double Diane Szynkier. Elle qui jusqu’à récemment, était une collaboratrice de l’organisation, occupe à présent le poste de conseillère chargée des risques technologiques, de la sûreté nucléaire dans l’équipe de Ségolène Royal.
Mais ce n’est pas tout, Yannick Rousselet chargé de la campagne nucléaire chez Greenpeace qui s’enchaînait aux rails sous Sarkozy, et qui déploie désormais des banderoles, est également un invité de prestige du cercle social-libéral. Cet énergumène un peu farfelu qui n’hésite pas à s’afficher sur Facebook à bord du Rainbow Warrior n’est sûrement pas le nœud gordien de cette affaire mais lorsqu’il fait la promotion ostentatoire de l’avocat Benoist Busson, on ne peut pas ne pas y prêter attention… Cet avocat, amateur de vignobles a ouvert une activité de conseil juridique depuis 8 ans, mais n’a pas encore souhaité rendre publics les comptes de sa société, qui a pourtant ouvert des bureaux sur le boulevard Saint-Germain, à deux pas de l’Assemblée Nationale… Selon vous, n’y a-t-il pas lieu de continuer à se poser des questions ?
« La nébuleuse… »
Le soufflet se prend pour Tintin.
« Proche du parti socialiste, on s’étonne d’abord que son créateur Olivier Ferrand ait été victime d’un accident vasculaire à l’âge de 43 ans, justement au lendemain de l’élection de François Hollande. »
Il aurait eu la gastro, Lesoufflet aurait suspecté un empoisonnement aux fruits de mer.
Avec ma femme l autre jour au marché un ecolo distribuant des tracts contre le nucléaire il est mal tombé avec nous , avec humour je lui ai répondu pas de nucléaire pas d électricité pourtant vous imprimez vos tracts avec quoi ? La réponse qu il m a donné a été ; MERDE .
Et Damdam c´est Milou, vous savez le roquet la « voix de son maître moi-je-président alias moi-president-vous-allez-voir-ce-que-vous-allez-voir ».
Pouvez vous nous éclairer sur qui finance GREENPEACE ?
N’y a t’il pas des pétrolier derrière tout cela ?
LES CARTELS INDUSTRIELS / PETROLIERS/ BANQUIERS ++
DIRIGENT LE MONDE DEPUIS DES SIECLES .
ELECTRICITE ? LE SCANDALE ++
svp = voir sur Google NIKOLAS TESLA inventeur de génie =
plus de 600 BREVETS
Dont les plus importants mis au placard .
ELECTRICITE gratuite pour tous ! s’était possible
mais les intérêts des pétroliers et Banquiers ? INCOMPATIBLE .
Donc BREVETS dans placard + LA TESA MOBILE dans les années
1920 = voiture Electrique déjà 100km H ?
MËME PRATIQUE des charognards de BANQUIERS /PETROLIERS
il en va de même pour LE CONTROLE DU CLIMAT ?
voir sur Google = HAARP onde Electromagnétiques TESLA .
La médiocrité de cet article me laisse sans voix….
« on s’étonne d’abord que son créateur Olivier Ferrand ait été victime d’un accident vasculaire à l’âge de 43 ans, justement au lendemain de l’élection de François Hollande. »
ou encore :
« Cet énergumène un peu farfelu qui n’hésite pas à s’afficher sur Facebook à bord du Rainbow Warrior » (qu’y a t-il d’anormal à cela pour quelqu’un de Greenpeace ?)
Je ne perdrai plus mon temps avec ce site et ce genre de non-information.