
A trois semaines de sa sortie par la petite porte de l’Histoire, Obama vient d’expulser trente-cinq diplomates russes travaillant à l’ambassade de Washington et au consulat de San Francisco. Le motif est on ne plus sérieux puisqu’il s’agit de représailles contre de supposées actions visant à manipuler les résultats de la dernière élection présidentielle américaine. Humilié d’être remplacé par un Trump déclaré fou par tous les médias du système, Obama tente désespérément de faire porter le chapeau à des Russes redevenus l’axe du mal à eux seuls.
C’est ce qu’on appelle une décision diplomatique très musclée. Trente-cinq diplomates russes présents sur le territoire américain ont été déclarés persona non grata par le président Obama. Une décision forte comme réponse aux attaques de hackers (forcément russes) visant à influencer l’élection présidentielle. Une première sanction qui en appelle d’autres selon un exécutif américain qui accuse le Kremlin d’avoir piraté des milliers d’emails appartenant à des responsables du camp démocrate. Les informations issues de ces emails et publiées dans tous les médias américains auraient changé significativement la donne de l’élection.
Les accusations sont formulées, une première vague de sanctions est prise, mais aucun élément probant ne vient étayer la thèse de la Maison Blanche. Car il ne s’agit que d’une thèse faute de preuve. Si le mobile existe : Hilary Clinton est hystériquement anti-russe depuis des années, personne ne sait si un crime a été commis. Pas d’évidence de crime, mais un jugement à l’emporte-pièce de l’administration Obama dont le seul souci est de détériorer autant que faire se peut les relations américano-russes avant la passation de pouvoir le 20 janvier 2017. Il faut accabler les Russes pour rendre impossible un rapprochement sous la présidence Trump. Comment un président américain, aussi baroque soit-il, pourrait pactiser avec une Russie qui s’ingère illégalement dans ses propres élections ?
L’objectif d’Obama ne fait aucun doute, mais comme souvent en politique étrangère, les manœuvres présidentielles risquent de se crasher sur le mur des réalités. Trump n’est pas du genre à se laisser dicter sa conduite et il compte bien travailler avec Vladimir Poutine dès les premières semaines de sa présidence. La lune de miel entre les deux hommes durera-t-elle ? Cela n’est en rien certain mais la première séquence sera cordiale malgré les dernières tentatives désespérées de l’administration Obama de saboter toute politique qui ne relève pas de l’anti-Russie Primaire.
Le double échec d’Obama
Le message subliminal que tente de faire passer Obama est aussi à destination des Américains. Si un Républicain haï de l’establishment et soutenu du bout des lèvres par son propre parti a été élu c’est bien parce qu’il y a eu manipulation en coulisse. Comment Barack Obama pourrait-il souscrire à une conclusion de huit ans de présidence par une farandole trumpesque ? La victoire de Trump signe l’échec d’un Obama qui a conduit les plus pauvres à être plus pauvres et les plus riches à devenir plus riches encore. Un bilan très loin des critères démocrates et qui se conjugue parfaitement à la philosophie de la candidate Clinton qui a engrangé des millions de dollars de revenus grâce à ses sponsors de Wall Street.
Les démocrates ont donc perdu, mais c’est seulement parce qu’ils ont été victimes de méchants hackers russes. Triste sortie pour une administration Obama au bilan désastreux en politique étrangère. Libye, Syrie, Irak, Turquie, Sahel, Amérique du Sud… La liste des pays et des régions déstabilisés pour un oui ou pour un non est dangereusement longue. Derrière le sourire enjôleur et la bonhomie d’Obama, se cache une politique peu efficace et certainement pas motivée par des principes sains et bien intentionnés.
Ne voulant pas rester dans l’Histoire comme un faible qui aura fait perdre la crédibilité des Etats-Unis au niveau militaire et diplomatique, Obama abat ses dernières cartes contre la Russie et pratique la politique de la terre brûlée. Cela aurait pu fonctionner si comme lui, Poutine et Trump avaient une vision court-termiste. Mais ces deux-là sont plus intelligents et savent que l’intérêt de leur pays respectif est de s’entendre sur les grandes questions qui secouent le monde. L’expulsion prochaine de 35 diplomates américains décidée par les autorités russes en réponse à l’agression d’Obama n’est là que pour signifier une dernière fois au président américain qu’il ne gagnera jamais la moindre bataille contre son ennemi préféré. Obama une fois sorti de la Maison Blanche, les deux pays pourront faire de la politique sérieuse et reléguer Obama dans le musée du burlesque tragique.
Le comique dans cette affaire c’est que les « hackers », quels qu’ils soient ont rendu publique des turpitudes internes aux démocrates, sans démenti, et sans aucun rapport avec le parti adverse.
Ils devraient en avoir tellement honte de leurs magouilles internes qu’ils devraient essayer de les minimiser au lieu de les confirmer.
Ce ne sont pas les républicains qui en ont profité mais les démocrates qui ont perdu des voix.
Ces débiles du « camp du bien » ne se rendent même pas compte du ridicule.
Réaction de poutine a l’expulsion de ses diplomates : l’invitation des enfants de leurs homologues à l’arbre de noël du kremlin : Classe !
Barack HUSSEIN OBAMA un général de PACOTILLE il est responsable de l’islamisation des ETATS-UNIS.