
A moins d’une semaine de son investiture, Donald Trump s’est prêté à l’exercice d’une interview avec deux médias britannique et allemand. L’occasion pour le trublion et bientôt président en exercice de dire tout le mal qu’il pense de la politique européenne au cours de ces dernières années. Choqués, les médias ne se sont pas privés d’exprimer leur épouvante avec à chaque fois nombre de commentaires croustillants et antisystèmes.
Les augures vont-ils être aveugles pendant les quatre (voire huit) prochaines années ? Les augures médiatiques en ont bien peur car après avoir déversé leur haine contre Donald Trump et avoir prédit sa perte à de multiples reprises, ils ne comprennent toujours pas comment le président élu peut continuer à vivre hors du moule du politiquement correct. Alors que la cérémonie d’investiture approche à grands-pas, Trump place ses pions et démontre une nouvelle fois qu’il mènera une politique étrangère bien différente de celle de son prédécesseur. Son interview accordée aux journaux allemand et britannique – Bild et le Times – a suscité une avalanche de réactions dans la presse européenne outrée qu’un puissant lui dise ses quatre vérités.
Le vote en faveur du Brexit a marqué profondément les médias européens. Comment les « prolos » britanniques ont-ils osé claquer la porte de la cellule nommée UE ? La gifle a été forte et a été pauvrement cachée derrière l’idée que le peuple nourrit d’un affreux racisme et d’une inextinguible soif de repli national est allé dans les urnes avec de coupables intentions. Mais bon, passe encore ! Les mauvais sujets de Bruxelles ont trébuché mais c’est parce du haut de leur ignorance, ils n’ont rien compris. Et voilà que déboule Donald Trump, nouveau président des Etats-Unis et donc homme parmi les plus puissants du monde qui tient un discours analogue. Si désormais les « prolos » britanniques et le chef de l’Etat étasunien sont sur la même ligne, le danger est imminent.
Les déclarations de Trump au sujet du Brexit rendent compte de ce danger. Donnant raison aux électeurs britanniques, le président élu estime que l’Union européenne « c’est en gros un instrument pour l’Allemagne. C’est la raison pour laquelle je pense que le Royaume-Uni a eu bien raison d’en sortir ». Un point pour la Grande-Bretagne et une attaque en règle contre l’Allemagne qui a essuyé d’autres critiques au cours de cette interview. Trump juge et espère l’effondrement de l’Union européenne, « conséquence inévitable » de la colère des peuples. Une espérance hérétique pour des médias européens qui prennent leurs instructions auprès de Bruxelles.
La politique allemande pointée du doigt
Dans le viseur présidentiel, l’Allemagne a reçu des coups à travers BMW qui devra payer une taxe de 35 % si elle souhaite vendre aux Etats-Unis des véhicules construits au Mexique. La menace est claire et a déjà fonctionné avec plusieurs constructeurs américains. Le président américain sait que taper au porte-monnaie fait toujours mal et que la puissante industrie allemande ne pourra pas se voiler les yeux sur ce dossier.
Une Allemagne pas ménagée sur le plan économique et qui en prend pour son grade sur sa politique migratoire. Trump déclare qu’Angela Merkel « a fait une erreur catastrophique en accueillant tous ces migrants illégaux ». Et pour une fois l’adjectif « illégal » est lâché. Un mot qu’on ne retrouve jamais dans les médias européens car décrivant une réalité qui ne colle pas avec la bien-pensance qu’ils ont érigé en totem. Le président laisse sous-entendre – chose bien comprise de tous les peuples – que cette politique migratoire folle est à l’origine de l’attentat de Berlin.
Dernier boulet auquel se sont enchaîné les Européens, l’OTAN est mis à mal par le président américain. « J’ai dit, il y a longtemps, que l’OTAN avait des problèmes. En premier lieu qu’elle était obsolète parce qu’elle a été conçue il y a des années et des années et parce qu’elle ne s’est pas occupée du terrorisme ». Là encore, qui peut lui donner tort ? Elaborée contre le bloc de l’Est, l’OTAN a pourtant survécu à la fin de la guerre froide pour devenir un outil néocolonial. Des pays ont été ravagés et le terrorisme est plus fort que jamais. Un triste bilan qui pèse contre cette structure « obsolète ».
Et la France dans tout ça ? Pas un mot. Les conclusions tirées par les quotidiens français sont justes pour une fois. Trump se moque royalement d’un pays qui a renoncé à son rôle sur le plan international. Entre le retour dans le commandement intégré de l’OTAN et la catastrophique campagne libyenne de Sarkozy à la meurtrière politique de Hollande en Syrie, la messe est dite. La France ne compte pas et « n’est plus la France » pour reprendre un constat présidentiel qui n’a pas plus au bon gros Hollande. Trump les rend tous fous car à égrener un chapelet de vérités que voulaient mettre sous le tapis les médias, il plante le dernier clou sur le cercueil des médias aux ordres de certaines élites.
Trump a t il fait un coup d’état ?
Non, il a été élu démocratiquement selon les règles électorales US.
Incroyable de constater que la gauche, ici les « Démocrates » ( quelle usurpation !), toujours donneuse de leçons morales, conteste systématiquement les élections démocratiques quand elles ne lui sont pas favorables.
On se rappelle de l’entre 2 tours de 2002 en France avec la gauche dans la rue pour contester le suffrage universel ayant éliminé Jospin et placé LePen en 2e position.
L’acharnement des élites autoproclamées politiques et médiatiques bienpensantes contre Trump tourne au grotesque , allant jusqu’à élever en scandale le rapport sextape non prouvé d’un ex agent du MI6 payé par….les Démocrates !
Et Trump a parfaitement raison de dire que la politique immigrationniste de Merkel, pour avoir une main d’oeuvre sous payée, est catastrophique. On en a vu les conséquences immédiates en Allemagne avec les agressions sexuelles, l’augmentation importante de la délinquance en 1 an et les 1ers attentats islamistes.Et ce n’est que le début.
De même pour le Brexit, seule solution pour les Gb de s’en sortir ( et ça marche !) et pour l’Otan devenu obsolète. Quant a la France, oui, depuis Hollandouille, elle n’existe plus au niveau internationnal.
Cerise sur le gàteau, l’élection de Trump aurait fait perdre 1 milliard de $ au spéculateur pourri Georges Sorros, celui qui finance les Lgbt et tout ce qui peut détruire les nations européennes, qui avait misé sur un effondrement des bourses Us avec l’élection de Trump. Or celles ci ne cessent de grimper depuis !
Ah Trump, le héros populaire, le nouveau Robin des Bois des USA. J’en rigole encore. L’Amérique ultra-libérale est en marche, les pauvres et les faibles américains vont finir d’être écrasés. Clinton était un peu mieux pour eux à vrai dire mais guère. Il va falloir que le peuple américain se réveille vraiment un jour.
Ha ha ha…Il ne doute de rien le petit bobo-bolcho Titi donnant des conseils au peuple américain…. qui a elu démocratiquement Trump.
Les français ont aussi élu démocratiquement F. Hollande, Sarkozy, Chirac, Giscard, …. Ils se sont quand même bien fait avoir.
Petit Facho qui s’appuie sur la démocratie, on aura tout vu !
Oui oui… on sait bien que tu te ridiculises en clamant partout que le FN va faire un coup d’état.
Ha ha ha…, depuis sa création cela fait 40 ans que le FN joue le jeu démocratique, même si celui ci lui octroie généreusement 2 députés avec plus de 20 % des voix !
Par contre les petits gôchos-bolchos comme Titi, eux, sont prêts à descendre dans la rue pour contester le suffrage électoral en cas de victoire de Marine, ce qui s’est produit en 2002 lors de la présidentielle, sans évoquer toutes les réunions démocratiques du FN perturbées par les antifas et autres fascistes de gauche.
Alors les leçons de démocratie par des staliniens de ton espèce, Titi, ça fait rire tout le monde !
Trump est un produit du système, les apparences sont (volontairement) trompeuses.
Intéressez-vous à son passé, ses affaires, ses collaborateurs et ses parrains (actuels et passés)…
Il a reçu la mission de liquider l’empire américain pour faire place nette pour le gouvernement mondial.
Tout le reste est du pipi pour les médias.
On aime bien les » bonnes âmes » qui avant même de le voir à l’oeuvre font du Trumpbashing,,,,en pensant sans doute s’élever au niveau des élites formatées de la Bienpensance mondiale, celles qui n’ont rien compris au peuple.
Raté !
Quand au gouvernement mondial…..heu , il y a confusion avec H.Clinton soutenue entre autres par le chantre de la mondialisation, le financier véreux G.Sorros.
Muriel qui défend un patron ultra-libéral symbole de la mondialisation qui surexploite ses employés qui n’arrête pas de mentir à tout le monde,
qui ne nomme dans son gouvernement que des représentants du lobby industriel et pétrolier. Je pense que vous faites erreur. Si vous votez FN, je n’y comprends plus rien quand je lis son pseudo-programme économique, il y a des années lumières entre celui-ci et celui de Trump !
Titi qui défendait une Clinton , chantre de la mondialisation au détriment des peuples, des interventions armées au moyen orient et lybie, corrompue avec sa fondation bidon comme toutes les pseudo élites Us….
Trump n’est pas l’idéal, mais laissons le agir en tant que Président avant de le juger. Ses mesures de relocalisations industrielles et de lutte contre l’immigration clandestine, si elles se confirment, seraient un bon début.
Mais bon, soyons certains que le peuple américain a entendu les conseils du petit Titi français !
Je n’ai jamais défendu Clinton, seriez-vous mieux informé que moi ?
G. Sorros aurait financé plus de 50 organisations de la marche anti Trump du 21 janvier selon le New York Time du jour, pourtant anti Trump.
Encore une belle leçon de démocratie donnée par les
« Démocrates » mondialistes, mauvais perdants de l’élection !
Excellent article et trés bonne mise au point de Jpb.
Victoire enchanteresse de Monsieur DONALD TRUMP si j’avais été un citoyen AMÉRICAIN il aurait mon bulletin de vote.