
Sept mois. Ils auront tenu sept mois tant bien que mal avant de devoir refaire surface médiatiquement. Une bouffée d’air salutaire pour des individus qui ne vivent qu’à travers le regard des autres. Ils ? Ce sont deux figures centrales du dernier quinquennat : François Hollande et Najat Vallaud-Belkacem. Le premier assure qu’il souhaite un beau succès à son successeur de traitre quant à la seconde elle brigue la tête du PS…
Difficile de tourner la page quand sa vie se résume à un « combat » politique où seule la volonté de prendre le pouvoir fait mouvoir les esprits et les corps. Des mots d’esprit, Hollande en a toujours eu. Et sans surprise, il a gardé son corps insignifiant qui l’empêchait, entre autres choses, d’avoir un charisme un tant soit peu présidentiel. La silhouette est empâtée, les paupières lourdes, et les cheveux beaucoup trop teints (son coiffeur hors de prix a-t-il été remplacé par un moins cher, mais aussi peu inspiré ?).
Une courte traversée du désert médiatique
Les petites phrases ne suffisent plus, Hollande a besoin d’une lumière rien que pur lui et c’est dans les studios de RTL que l’assoiffé médiatique vient prendre sa dose vitale de paroles lancées à des Français qui ne sont pas encore tombés dans l’indifférence d’un quinquennat honteux. Plus d’une heure d’interview avec l’inénarrable Marc-Olivier Fogiel et l’indéboulonnable Alain Duhamel. Autant dire que l’air n’était pas bien frais dans le studio.
Les sept mois passés à faire semblant de ne pas commenter la vie politique n’ont accouché d’aucune idée ou analyse où percerait une lueur d’intelligence et de remise en cause. Comme convenu l’ancien président souhaite que Macron « puisse réussir son mandat » et assure qu’il n’est pas brouillé avec celui qui lui a planté le couteau à la plus longue lame. Amnésique ou hypocrite, Hollande est comme toujours à la ramasse.
Il trouve quand même la force de défendre son bilan en critiquant des initiatives macroniennes avec en premier lieu la politique économique (est-il si amnésique pour avoir oublié que Macron était son numéro un sur les questions économiques ?). Mais le plus important n’est pas là. Hollande approuve la position de son successeur à propos de l’Europe. Il estime que « l’économie va bien »… et qu’il existe « opportunité historique pour la construction européenne » via la Défense et la politique étrangère. Les vieilles lubies de démantèlement de l’indépendance de la France par l’UE ont la vie dure chez les éléphants socialistes.
Belkacem reine d’un château de sable ?
Des éléphants en voie de disparition. Le troupeau est petit, malade et se cherche un chef. Pour l’heure, les prétendants ne se bousculent pas… Qui souhaiterait consciemment déposer officiellement le bilan d’un parti centenaire qui a trahi tous ses idéaux et la France dès qu’il a goûté au pouvoir ? Najat Vallaud-Belkacem est de ceux-là. Ridicule au Gouvernement, ridiculisée lors des élections législatives, Belkacem est parfaite pour prendre la tête du PS. Le Parti a entamé sa transhumance vers l’extrême gauche du spectre politique et l’ancienne ministre de l’Education serait un parfait leader de la nouvelle et étriquée boutique socialiste.
Plus qu’un mois et demi avant de connaître l’ensemble des candidats. Avec Luc Cavouas, ancien bras droit de Valls comme seul challenger, il n’est pas impossible que Belkacem gagne enfin une élection. Elle pourra alors profiter de la lumière du crépuscule pour s’agiter et attirer bien malgré elle les derniers électeurs du PS chez Macron ou Mélenchon.
qUELLES BELLES DESCRPITIONS DU MARIGOT ET DES POURRIS QUI Y PATAUGENT
Oui oui …
Belkacem, Holland & cie remettent le couvert.
Et pour cause, ils ont une clientèle de choix,
ils savent qu’il y aura des milliers de français assez c.. « amnésique » pour voter pour eux.
Et puis ils ont les voix maghrébines et autres déçus par les choix de MACRON…
Et oui !
les voteurs économiques, souvenez vous !
Ceux qui ne votent pas par conviction mais juste pour ce remplir les foufouilles.
Donc Holland et sa bande ont encore des chance de faire une percé avec cette partie de la population.
Le cinoche des kermesses, puis celui, des élections présidentielles, font que nous avons le « pouvoir » de faire que les portes s’ouvrent pour les foutre dehors.
Mais sans aucune honte, c’est par les fenêtres qu’ils reviennent.
En même temps, c’est la force du « barrage » qui fait la faiblesse des fenêtres.
Ils ont fait l’Europe, et l’union européenne est née sur les diversités….
Cette union là, fait à présent leur force.
La France, pour mieux poser leur fessier et se remplir panse et fouilles ils disent l’aimer. Une fois installés, ils en demandent la « noyade »….
Et pour mieux tenir la tête de Marianne sous l’eau, ils ne cessent de jouer le retour.
Au Jeu de DESTRUCTION-CONSTRUCTION, c’est le serpent qui se mort la queue.