
A cinq mois des élections municipales, les candidats à la mairie de Paris fourbissent leurs armes. Tous y vont de leur petit commentaire et de leur proposition populiste bien que le match n’ait pas été encore totalement lancé. L’officialisation de la candidature d’Anne Hidalgo se fait attendre, mais certains ne se privent déjà pas de lui rappeler son bilan catastrophique. Des noms issus du monde des arts n’en peuvent plus de la reine Hidalgo et portent des critiques justifiées et partagées par une grande majorité de Parisiens.
Les politiques adorent s’afficher avec des têtes et des noms connus lors des campagnes électorales. Une mode qui remonte déjà à plusieurs décennies et qui est devenue une grande spécialité de la gauche. Quoi de mieux qu’un artiste au premier rang d’un meeting pour cacher le vide programmatique, voire les imbécilités promises par tel ou tel candidat ? Fière représentante d’un PS à la ramasse, Anne Hidalgo a usé de cette technique, mais elle risque fort de devoir racler les fonds de tiroirs dès le début de sa campagne tant les artistes lui tournent le dos. La reine des bobos serait-elle allée trop loin ?
Paris, une décharge à ciel ouvert (et pollué)
Anne Hidalgo temporise. La maire de Paris entend s’accrocher à son prestigieux poste et étant donné les critiques légitimes dont tout le monde la couvre, l’ancienne protégée d’un Bertrand Delanoë qui refuse aujourd’hui de citer son nom, attend certainement le dernier moment avant de partir en campagne. Hidalgo compte sur une Blitzkrieg – comme dirait Nathalie Loiseau – pour éviter d’être enterrée par un bilan cataclysmique. La vie est devenue tellement pénible dans la capitale que certains qui ont un accès aux médias ne se privent pas de lui enfoncer la tête sous l’eau. Ainsi, Fabrice Luchini, Josée Dayan, Alain Souchon ou encore l’inénarrable Stéphane Guillon ne se sont pas privés de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas.
Et sans surprise, les deux principales verrues sont les embouteillages et la saleté. Sous prétexte de lutter contre la pollution et de rendre la ville aux piétons, l’équipe Hidalgo – bien inspirée en cela par Delanoë – a supprimé des milliers de places de stationnement, et a considérablement réduit les voies de circulation avec l’idée que les automobilistes, dégoûtés par autant de trafics, troqueraient leur véhicule contre un joyeux passage par un métro congestionné aux heures de pointe. Pari raté, car si une minorité a pu se plier à cette politique qui se présente sous le masque de la lutte contre la pollution, la plupart des automobilistes n’ont pas le choix et sont donc contraints à perdre leur temps dans des bouchons créés artificiellement.
La pollution augmente donc dans la capitale, mais le Parisien a peut-être une chance d’échapper au moins à l’odeur de gaz « grâce » à une ville de plus en plus sale qui fait le bonheur des pigeons et des rats. Impossible de faire un pas dehors sans tomber sur des détritus en tout genre. Une honte dénoncée depuis des années par les touristes étrangers qui a finalement tellement grossi que les mêmes les Parisiens habitués aux odeurs d’urine dans le métro et aux détritus sur les trottoirs se disent qu’il y a peut-être quelque chose à changer. Alors depuis plusieurs mois, la mairie de Paris encourage grâce à une montagne d’affiches collées un peu partout, à jeter les déchets dans les poubelles… Des poubelles de plus en plus imposantes et en plastique dur, car les simples sacs plastiques sont allégrement percés par les millions de rats devenus les véritables propriétaires de la ville.
Bref, le bilan le plus visible est une catastrophe pour la maire de Paris. Même pas besoin de se pencher sur les comptes ubuesques, l’insécurité chronique et les leçons de morale non appliquées par les recteurs de l’Hôtel de Ville pour en finir avec la politique d’Hidalgo. Pourtant, il reste une possibilité de réélection car entre un Gaspard Gantzer crédité logiquement d’ 1% des voix, une droite parisienne toujours aussi grotesque et des marcheurs divisés qui font officiellement appel à un type comme Griveaux, les bras cassés de la mairie de Paris pourraient bien passer entre les fourches caudines de l’élection. Les Parisiens sont-ils à ce point masochistes ?
PARIS . fût la plus belle !
PARIS /HIDALGO = PARIS POUBELLE
LA CRASSEUSE . PAUVRE FRANCE .
TRISTE Réalité ! achat de lunettes pour EN MARCHE ?
PARIS ? Sécurité = zéro !
MANIFS ? CASSEURS / AGRESSEURS ? EUX restent libre ?
Démocratie =zéro
FRANCE ? REVEIL ? DUR/ DUR . ++
LES SAIGNEURS DU PEUPLE FRANCAIS = vendus /traitres +++
LA BELLE FRANCE ? PARIS VILLE LUMIERE ? fini
Passage vers les ténèbres !
PARIS VILLE POUBELLE . ? LA FAUTE A QUI ? une idée
chuuuttt rien voir /rien entendre /rien dire !
Dictature EN MARCHE avec les rampants =serpents+scorpions .
faire (( BLOC ? ))
Pas plus tard que ce matin,
À Paris…
Je m’amusais à compter les gros rats non loin de la porte de bagnolet.
Même les pigeont ont investi le moindre dessous de pont, arcade, tunnel et même sous sol…
Le pigeont, 14 maladies graves pour l’homme.
9 pour le rat et la souris.
Dans le nord de la capitale, mais pas que…
Les très très nombreux migrants illégal, font leurs besoins dans les moindres recoins qu’ils trouvent.
Le matin,
Des équipes d’hommes en tennu blanche anti-contamination accompagné d’un camion nettoyent les nombreux excréments déposés par toutes ces chances pour la France.
Oui,
Paris est bien une ville pathogènes.
Pour que le jeu de DESTRUCTION se fasse, il faut prendre des destructeurs en marche.
Paris est à l’image de la France, ne représente plus rien.